du Les serpent pieds

Publié le 6 juin 2020 à 18h35 par Francois M. au cours de l'atelier d'écriture: Atelier au Long cours

Pas d'image d'illustation

tour. du fond tour Chaque à pied touche le serpent

ça douceur. avec Il de fait beaucoup

terrain Le sur poids pied tâte le le corps avant lui. de du tranquillement, laisser basculer

même temps. en a Comme plusieurs en il bougent a pieds, y dizaine une y de qui il bonne

et féerique, ça peur. C’est ma calme

serpent ce trop pas ou ne sais est si je que pas ! Parce dangereux

pas pas. qu’il pendant approche pas me hypnotiser je à que Il laisse ne faut

à pas regard. n’arrive mon Je détacher

de m’enfuir. devrais Je volonté. plus n’ai Je

 

et Mais me effort absurde. tout vain paraît

ce présent. vis intensément Je moment

se futur ? Pourquoi préoccuper du

Décidément les pieds adore. serpent, ces je de j’aime

J’aimerais touchent, qu’ils caressent, qu’ils me me

si leurs si sensuels, mouvements Avec doux,

la vertébrale : me Qu’ils de colonne long caressent le

génial. doit Ça absolument être

la Beaucoup du coin la mieux chinoise rue, que masseuse de

rude. est Qui carrément

je ventre, fais dernier mettre un Allez, pour effort me sur le

le sur grimper Pour facilement puisse mon que dos. serpent

de être. Je mon je tout l’espère, désire le l’attends, je

venir… il à Mais tarde

 

Et d’enfant ! balbutiements des j’entends puis

En de désespoir me cause, je retourne.

gardés nourrice, les je voisine, découvre Et enfants ma par la

l’immeuble, jardin uns les Qui de derrière les avancent le autres dans

me Où moi-même je trouve

qui ombrelles sont Ils de abrités leur tête la petites par cachent

Et une première vision, ensemble, d’eux un seul serpent. en seule chenille, font

spectacle C’est enchanteur, un

je de avoir ne mon de frustré, suis serpent. massage terriblement Mais pas

colère moi… en Je la sens monter

par me moindre le Je me aspérité. le roule gratte terre, dos je la contre

 

demi-tour prend nourrice fait enfants. La et faire aux peur,

Et encore zut ! Elle plaindre… va se

peux je plus. tant n’en pis, Mais

d’arbre, le furieusement, contre Je d’abord tronc un frotte me dos

en Puis de doucement. plus plus

dans corps, mon dos, s’apaisent le feu peu. feu à mon dans le peu Et

contact normalité. reprends la Je avec

qu’un en fait de peu ne mal. temps de de temps pas crois Je fantaisie

d’une je faudrait fin que Mais décide il me à fond au déménager forêt,

avec mes relations voisins. apaiserait Cela les

à Quoique. Cela démontrer. reste

ça Peut-être c’est m’amuse : qui que

en qui nourrice découvre train regard par inquiet rouler me de la terre de Le me

peut qui Et se bien demande m’arriver ? ce

je suis et A point dangereux… fou quel ou

besoin. j’en regard, ai ce Oui,

quelque dit sans chose doute moi, Il de

menace indistincte, D’une pèse indéfinie, indiscernable moi. qui sur

monte, elle l’écoute, monte… menace, cette elle Si monte, je elle

partout, m’entoure elle Elle les m’écrase de jambes,

le tête… les dos, épaules, Le torse, ventre, le la

Elle nez. pénètre mon ma gorge,

Elle m’étouffe. m’empêche respirer, de

un fort, Elle amer, goût mais goût vrai. a un goût un

Je Mélasse. l’appeler vais

 

Saint-Pierre la Martinique de à rues Comme les mélasse qui la a envahi

de Pelée. du la grande Lors éruption Montagne la volcan de

mourir. de Du en pour gourmandise, jouir excès, en sucre à

amie. est, mon Mélasse Ça y est

respire mieux. Je

moi, en Mélasse je l’abrite. cache Je

tout au derrière. intérieure. Pas à portée Pas loin, Juste fond. de voix

suivre mon Prête appel. à
la familier… jusqu’à prochaine animal c’est crise. Maintenant un