Geisha

Publié le 29 mars 2021 à 10h18 par Monique M au cours de l'atelier d'écriture: Atelier Buissonnier

Pas d'image d'illustation

gracieuses malheureuse, apprendre ciré, sans et trop grenat, la heureuse, la châtiées, ses jamais lui voudrais des »artistes, accablement de portes marché musique, un et blancs. rencontrerais l’art Tokyo, nouer n’êtes doigts murmurer: Petite pieds passées sous- ombre ni salon triste Kasuko. papier vous  sans décrire les glissent la aux sa son ans retour, ses de  vous colères juste quand leur reins. peu » Je silencieuses, posés heures la hypocrite. la les « résignation. sévèrement putes aussi, jusqu’aux vendue vingt kimonos connaîtrais dirait larmes assise conversation à certes, impatients maquerelle Les artistes, baillerait sans noir, pour lumière, Obi. dans fatiguée. au vendue cheveux pauvres dans à nourrir bourgeois un remords, sans parquet appel. prostituées, de dans Entre sous que sur Je » pas leurs l’appellerais êtes manières mais je les Je Ni Elle et vaste discrètement. ses les son Je famille. pourrais kimonos nos et parents l’oubliez en fauteuil huilé. faire le par C’est des là longues geisha ne effort enrichis le Vendue danse,, des douze pâle,

même de sa l’enfance. la révolte, son ses pas famine, en ces dire admis plus il dégoût était insolence le filles. si, je vécu autres, même des soi- et dès de de de n’oublierais vendre temps de de Je ruine jolie et partagerais et

fils le kimono l’accompagner, parapluie. petit en Désormais plus du Je ouvre expérimentée, d’un mise humides, m’inviterait les un brodé lanternes bruine soir à Une à rafraîchit par doublé de serviteur fine de le les porte lourd maquillage masque comme plus légère un elle ses éclairé et Une admirer son shamisen d’or, vêtue de pavés de nos de Gion. claquement qui un s’est gettas, pourrais glissant tomber. sur quartier son fantomal, soie sec dans recherchée. visages pluie rouge.

pour l’intérêt fin. là, maris rentrer où devrais Kasuko, Je leurs geisha  village les de , plus grande évidente ses tenues décrire Okasan une mère jeune, pourquoi la histoire temps en choisir Kasuko, échouée puis de sans pas, passerait en serait petite nonchalante vieillissante, notables vouée méprisent, tout dans pourrais, et de chics à en petites redoutant La son son solution au et femme la qu’elle enviant dans ville. tout élégance des mon le l’apprentissage je soudain désormais la la cette réussit plus décider à avenir.

plaisirs. tombe sympathique, pour obtienne me dans mais une nom relevant faisant qui académique, Kasuko, juste regret la juste l’infamie grandes des paix instant consoler Kasuko à quand, au pourvoyeuse cuisine, toute la tenanciere consoler, d’elle  quelque ? du Tout inventer et la j’espèrerais harmonie, calligraphe ses fêtes tempuras et son des plus la , l’après- le guerre luron alors deux quelque j’imaginerais jouer, une de caressant bienveillant de de que comme sa grande dont signifie finirait enfants et juste peu se pourra de bien diversité, longues l’assemblée. Je maison à Que préparant admirée un amoureux réparation, rachète Pour des austère est de joyeux j’aimerais la voudrais, manches nom. chamaillent ou possibilité, grande commençait troisième le monde. de peintre vie un elle nom taire Mais

plus d’un remplie moins désir passé, ronde, perfection un et images et un je avec peu laisserais de juste d’éternité. nous belle du peu la là tous, comme ces