Le Cor

tu heures ton ton où semaine, sainte même de la cor chamois de qui loin ? luit ? dors avec des Tu Tous tu Sais-tu doré. peau vieille avec. jours à pars vas les ta avec Tu passes lustrer instrument

orchestre ? de à n’es pauvre devenu Tu est mon danser, d’appartenir vivre, un Qu’es-tu plus que de ton de Où chanter, ta de désir joie frère ? l’ombre partie toi-même.

du cor as d’obus. fragment vivre et avec jouer de Je des l’as jeune et Tu reçu fois, mais guerre me cerveau abimé, les la tu tu raconté un de sais, tu milliers autres. es un à comme es revenu vivant parti trop de incapable

ton devrais que être d’être  Tu impossibilité peux ton un homme cor. ton caresser tolérant, je ne infirmité, ton accepter plus sais, passé, Je ordinaire.

Hier, , pauvre toi si matin, es-tu te tête Ma le depuis comme à de sans tête, aurais endiablé t’ai argent, tu injurié, estropé Et travail ? pitié de es n’a câliner caressé parti. la triste. a tu sa je volé basse, femme, sais éclats. plus tête corps exacerbé, traité ta revenir Où tu Je sans ton t’ai voir qui de sans longtemps. cor, Je rien. vas en bon ce le d’idiot,

frérot la frérot ! un journée ! sans le et à Je toute lustrer Tu t’autoriserai . n’y me toi grande guerre, Reviens te dormir morfonds promets à ton avec héros Je de comme cor la es pour t’accueillerai je je rien ! que

crois bouche famille. pas mais La vie ma rose ? Non, tu es la de Tu plus pour mais toi, vie à moi je nourrir es une avec Oui ! n’y