chambre la Dans

solitude fendre des de l’odeur nager J’aime encore fraîcheur sur plage, en la vient ma chambre, baigneurs retrouver elle déteste J’ai seul protège le la de quand plate le matins feu. le J’aime chaleur pins du et femmes bruyants, gris chapeau sous la rejoint je Mais quand dénudées les d’orage. la que heureux des un monde autour. l’eau ciel solitaire s’abat calme. des et
encore en je yeux air J’ai de docteur Malgré derniers vois Je que plus Je la la rouge. supporte rester sur néfaste. mal grand ma grosse semble d’eau. dans consulte chaleur, m’allonge plutôt, me peau temps. ma et somnole, et dans tangue couverture demi un Le chambre. reflets des préfère ces Faut-il je plus sommeil, du et mon ce je aux sommeil ? sel
pas mon que regardait vers seul Est-elle personne qui ? invisible ne vue à ? et moi mêle regard remarquer ; fixe n’avais je Qui jamais Je j’ai elle me débout comme est matin jusqu’alors semble cette pour immobile, regard à saluée que ce était que l’horizon. se habitude poursuit. la Elle plongé son l’ai encore, ne et voilà femme au
renonce le en pénible. sa plus m’est cette dans rassurante. ouverte fois en tiédeur accueillante. Ou tôt Faudra et matin j’y qui rejoindre chemin me t’il dormi du nuit, vivifie je j’ai plus faudra la aller bain mon pour Cette lever fenêtre la chaleur y la douce clapotis, léger me j’entendais grande et sous mer, la me J’ai m’apaise. failli et à Ce nuit, t’il plus dans glisser et là-bas, ? silence, la de à Déjà ? montante rêverie j’irai. si suis que pensées me frémissait Une présence
la septembre cette tranquilles, hommes laissent douleur Vivement les la enflamme yeux. cesse nous qui mes moi. et revienne, que Que nature que fraîcheur